Mes idéaux et mes idées
Transforment la réalité
Comme les reflets troublants
D’un grand miroir déformant
Où rien de vrai n'apparaît
Car même à Paris
Au chant des sirènes et des klaxons
Oui même à Paris
Je rêve de Paris
Des juges et des préjugés
Dans mon cerveau sans arrêt
Critiquent ou bien condamnent
Au gré de mes états d’âme
Et le réel disparaît
Car même à Paris
Au chant des sirènes et des klaxons
Oui même à Paris
Je rêve de Paris
Et rien n’est vraiment tel qu’on le voit
Tout est seulement tel qu’on le croit
Et on tourne, tourne en rond
Dans un océan d’illusions
Te verrai je vraiment un jour
Toi que je vois tous les jours
Mais sans le souvenir
De nos chagrins de nos rires
Pour te voir comme au premier jour
Car même à Paris
Au chant des sirènes et des klaxons
Oui même à Paris
Je rêve de Paris
Même à Kyoto,
Au chant du coucou,
Je rêve de Kyoto.
Basho